De dactylo à réceptionniste : l’itinéraire de Conny chez Vandelanotte

17 mars 2023

L’année 2023 est une année de fête pour Vandelanotte, puisque nous soufflons nos 75 bougies ! Pour marquer cette étape, nous allons remonter un peu le temps et mettre à l’honneur les « anciens » de Vandelanotte. Commençons cette série par « notre Conny », un pilier du bureau de Courtrai depuis déjà 40 ans. Ci-dessous, elle revient sur son parcours chez Vandelanotte.

« Je me souviens de mon premier jour chez Vandelanotte comme si c’était hier. C’était assez mouvementé (rires). J’ai commencé à travailler chez Vandelanotte en 1983 comme dactylo. Eh oui, à l’époque, c’était encore un vrai métier. J’ai toujours aimé la dactylographie, c’est très varié et intense. Le premier jour, j’ai reçu un bureau et une chaise, avec une machine à écrire et une calculatrice. Je pouvais m’y mettre directement (sourire). Il s’agissait de ne pas faire d’erreurs, sinon il faudrait tout recommencer. C’était un fameux défi à relever. À cette époque, je ne savais pas ce qu’était l’actif et le passif, sans parler des autres termes comptables », explique Conny.

Forte croissance

Le bureau Vandelanotte de 1983 n’est plus comparable à ce qu’il est maintenant. Quarante années et 20 sièges plus tard, Vandelanotte, qui n’était alors qu’un petit bureau de comptabilité, fait désormais partie du top 10 des bureaux d’expertise-comptable et d’audit de Belgique. Conny s’en souvient encore : « Alors que nous n’étions qu’un petit bureau, nous sommes devenus un véritable titan. Quand je pense que j’ai commencé à travailler avec une dizaine de collègues... et que nous sommes maintenant plus de 580. C’est incroyable ! L’arrivée de l’ordinateur et la numérisation qui s’en est suivie ont entraîné une énorme évolution. »

Au fil des ans, Conny a, elle aussi, beaucoup évolué dans son travail. Après avoir commencé comme dactylo, elle est devenue réceptionniste du bureau de Courtrai. « Au départ, je n’étais pas totalement séduite par l’idée d’être à l’accueil toute la journée. Ni de répondre au téléphone. Mais maintenant, je sais que j’ai fait le bon choix. Jusqu’à présent, je le fais toujours avec plaisir », poursuit Conny.

De beaux souvenirs

Conny a déjà vécu de nombreuses étapes chez Vandelanotte, mais lorsque nous lui demandons quelle est sa préférée, elle doit un peu réfléchir. « En fait, il y en a trois qui ressortent. L’arrivée du fax en fait partie. C’était un appareil de haute technologie à l’époque. On enfonce une feuille dans l’appareil, on appuie sur le bouton et on sait que l’autre la reçoit. Je trouvais ça génial. Par ailleurs, je devais introduire les heures de travail des collègues dans le système ERP sur l’ordinateur. C’était aussi une grande étape à l’époque. Mais ce qui ressort surtout, c’est le déménagement de notre premier bureau à Wevelgem vers le bureau actuel de Courtrai. D’un bureau devenu trop petit à un grand espace moderne. Ce déménagement était un véritable défi. »

« Ce dont je me souviendrais toujours aussi, c’est de mon entretien d’embauche avec ‘monsieur’ Roger (fondateur de Vandelanotte). Avec la fumée de cigare, je ne le voyais presque pas sur son bureau. C’était clairement une autre époque (rires). ‘Comment vous appelez-vous ?’ et ‘Aimeriez-vous travailler ici ?’ étaient les seules questions qu’il m’a posées. Je ne savais pas du tout si j’allais aimer travailler là, je ne connaissais même pas le bureau. Mais c’était près de chez moi et je pouvais y aller à vélo. Je ne pouvais pas rêver mieux, puisque je n’avais pas encore de permis de conduire. J’ai pu commencer tout de suite. À l’heure actuelle, la procédure de candidature est complètement différente et les collègues qui débutent sont chouchoutés avec des tas de gadgets. »

« Bien que je garde de très beaux souvenirs chez Vandelanotte, il y en a un qui fut très pénible. La maladie et le décès de notre collègue Bart Cappelle. C’était la première fois que nous vivions cela dans l’entreprise. Nous avons tous été très affectés. »

Conny ne nourrit plus d’autres ambitions, car elle prendra sa retraite l’année prochaine. L’attend-elle avec impatience ? « Honnêtement, j’ai du mal à y croire, ce moment se rapproche vraiment. Je l’attends, mais il y a tellement de choses qui vont me manquer ici. Que vais-je faire d’ici là ? Continuer à m’investir au quotidien, comme je le fais depuis 40 ans. C’est mon ambition », conclut Conny.

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