40 ans de dévouement : entretien avec Evelyne
Comment a débuté votre aventure chez Vandelanotte ?
« En 1983, j'ai effectué un stage chez Vandelanotte qui se trouvait encore Goudbergstraat à Wevelgem. C'était un peu par hasard. J'étudiais à Bruxelles à l'Institut Hoger Imelda et je cherchais un stage. Une professeur m'a mise en contact avec Vandelanotte, qui se trouvait justement dans ma ville natale. Que rêver de mieux ! J'avais reçu des instructions claires : ne pas nuire à la réputation de l'école. C'était plutôt passionnant !
Mon stage s’est parfaitement bien passé. Ma professeur et mes responsables de stage étaient satisfaits. J'ai obtenu mon diplôme à l'été 1984 et j'ai officiellement commencé à travailler ici le 17 décembre de la même année. À l'époque, on travaillait encore avec des machines à écrire, du papier carbone et du Tipp-Ex. Les appels téléphoniques entrants et sortants étaient notés sur un bloc-notes et les demandes de rappel des clients étaient transmises aux collègues de la même manière. C'était une autre époque !
Vous avez occupé de nombreuses fonctions au fil des ans. Comment avez-vous vécu cette évolution ?
« J'ai en effet eu différents rôles chez Vandelanotte : de gestionnaire de dossier jusqu'à la facturation et la comptabilité clients en passant par assistante de direction. Aujourd'hui, je m'occupe de la comptabilité interne au sens large. C’est bien, j'ai ainsi pu me faire une idée très complète de l'organisation.
J'ai toujours été frappée par le dynamisme de Vandelanotte. Tous les jours sont différents et les défis sont toujours nouveaux. Mon lieu de travail lui aussi a changé au fil des déménagements, d'abord à la Lauwestraat en 1991, puis à Courtrai en 2005. C’était motivant, mais aussi parfois stressant. Par exemple, l’une de mes collègues n'osait pas prendre l'autoroute pour se rendre à Courtrai. Heureusement, après avoir essayé quelques trajets ensemble, j'ai réussi à la convaincre. Nous avons même continué à faire du covoiturage pendant des années, jusqu'au début de la pandémie de coronavirus. »
Après 40 ans, qu'est-ce qui vous plaît encore dans votre travail ?
« Je considère vraiment Vandelanotte comme ma deuxième maison. Quand on pense au temps passé au travail, on se rend compte à quel point c’est important d’avoir une bonne ambiance. Et c'est exactement ce que j'ai trouvé ici : un endroit où je me sens appréciée, où je peux évoluer et où je suis entourée de personnes formidables. En finance, nous sommes confrontés à des défis tous les jours, mais nous les relevons ensemble, en équipe. Mes collègues sont mon plus grand cadeau chez Vandelanotte ! »
Avez-vous un message à adresser à vos collègues ou à la nouvelle génération de collaborateurs ?
« Profitez du voyage et accueillez les changements. Vandelanotte est une organisation qui m'a offert énormément d'opportunités au fil des ans et m'a permis de grandir. J'espère que les nouveaux collègues ressentiront la même chaleur et le même dynamisme que j'ai toujours ressentis ici. »
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